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Monday, February 02, 2004

Here's a nice piece of shit! 

The idea here is that I never had this published last year for our journal thing that the grade 8's were doing and since I'm the man around here and I can do pretty much whatever I want, I figured I would post this.

Yes, it is in french, and no I'm not about to translate it for those of us who aren't french speaking.

And for those of us who are : Yes I know the writing is poor, but mind you this was still grade 8 and I think everyone who experienced that year can safely say they learnt nothing.

À quoi sert un slogan ?

L’éditorial du troisième numéro.

Il y a quelques semaines maintenant depuis qu’un article publié dans le Edmonton Journal a causé un vague de lettres provenant des lecteurs et lectrices fâchés. Le journaliste a donné son opinion sévère sur le slogan « ville des champions » dans un article pas mal court mais assez provocateur pour que la rédactrice elle même a donné aux lecteurs le défi de trouver un remplaçant. Les suggestions sont devenues un bombardement d’idées destinées à la rédactrice qui, pour la plupart, les ont publiées la semaine d’après sous le titre- « À quoi sert un slogan ? »
Le problème est que la ville d’Edmonton se prépare à nommer un comité pour remplacer le dicton « Ville des champions » avec quelque chose d’autre qui sera choisi par ce groupe. Selon moi, l’idée idéale est de toujours employer les expressions argotiques qui sont utilisées par les habitants. La « cowtown » en Alberta et la « cabbage town » du sud d’Ontario sont des exemples parfaits. Ces deux villes, le Calgary et le Toronto, ont reçu leurs sobriquets d’après leurs histoire et industries. À Calgary il y a plusieurs fermes qui entourent la métropole. À cause de cela, plusieurs habitants ont surnommé la ville d’après l’industrie de l’agriculture. Le Toronto a acquit son slogan argotique d’une manière semblable. Durant les vagues d’immigration, c’était là ou un grand nombre de pauvres Irlandais se sont installés. Durant les années de famine ils n’ont pu acheter que des choux. Les familles ont inventé beaucoup de différentes méthodes de préparations pour ce légume essentiel à la vie, qui, à son tour, prendra l’occasion de devenir partie du slogan de la ville.
Même si ces expressions ont pris du temps à se manifester, elles sont les plus mémorables. Alors gardons le slogan d’Edmonton tel qu’il est et attendons jusqu’au moment qu’un autre développe. Ce qui est inventé par un comité ne sert à rien.


12/03/03
Français 8

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